Dans ce nouvel épisode, je suis heureuse de vous offrir un instant avec la Grande Sophie, figure incontournable de la scène française. Cette auteure, compositrice et parolière a à son actif 8 albums, 2 Victoires de la musique, et des centaines de dates de concert. Elle compose pour elle même et pour le cinéma ou la télévision. Elle écrit pour elle même et pour d’autres : Françoise Hardy, Sylvie Vartan, Alex Beaupain. En septembre dernier elle a publié son 8e album « Cet instant ». Un album avec pour fil conducteur le temps, celui qui nous éprouve, qui nous enseigne et qui nous déforme. Dans les 9 titres qui composent cet opus, elle parle de l’amour, des relations, et du corps, à l’épreuve du temps, accompagnée d’un nouvel instrument : le piano. Elle, qui joue de la guitare depuis son plus jeune âge, raconte cette rencontre avec un instrument qui lui avait été refusé, et la façon dont son instinct a pris les rênes de la composition. Ensemble nous parlons donc du temps, de l’instant et de l’instinct. D’amour et de bonheur aussi.

L’interview que vous allez entendre a été enregistrée en mai 2020 en pleine période de confinement liée à l’épidémie mondiale de covid 19. J’ai fait le maximum pour garantir les meilleures conditions audio. Crédit photo Simon Kerola.

Tous les épisodes du podcast sont disponibles sur onlike.net rubrique podcast et sur toutes les applications de podcast et plateformes de streaming. Les mots doux sont à adresser à alex.lebrethon@hotmail.fr

Extraits de son album « Cet instant » diffusés dans l’épisode 66 : ‘Hier’ (01:34), ‘Tu ne me reconnais pas’ (06:40), ‘Nous étions’ (13:45), ‘Huis-clos’ (21:36), ‘Où vont les mots’ (27:32) et ‘Une vie’ (31:06).

Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie

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L’invité de ce 65e épisode du podcast Onlike est l’auteur et compositeur Gabriel Auguste. Depuis quelques années, il a choisi de se ré-inventer artistiquement en composant et produisant de la musique dans un style bien différent de celui avec lequel il a grandi sur scène avec son groupe de rock psyché Wall of death. Aujourd’hui il raconte la vie, la sienne, celle des autres, la nôtre, avec des chansons de pop électronique en français avec des arrangements que l’on peut qualifier de minimalistes. Il a sorti en mars 2020 un 2e EP « Coups bas » avec 6 titres riches gorgés de sentiments : l’amour quand il est perdu, quand il est retrouvé, quand il est jaloux… d’autres y verront aussi de l’amitié. Bref de l’affection chantée de manière non affectée. Avec Gabriel Auguste on a parlé de cet EP, de minimalisme, de persévérance, parce que vouloir faire de la musique son métier est avant tout une épreuve de persévérance. Il a aussi parlé de l’écriture comme remède à une rupture sentimentale, et répondu à cette question : d’où vient t’il, ou va t’il ?

Contrairement à l’épisode qui précède et à celui qui suivra, l’interview que vous allez entendre a été enregistrée en avril 2020 en pleine période de confinement liée à l’épidémie mondiale de covid 19. J’ai fait le maximum pour garantir les meilleures conditions audio.
Crédit photo droits réservés.

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Extraits de son EP « Coups bas » diffusés dans l’épisode 65 : ‘Tu danses’ (01:39), ‘Sur ton passage’ (07:10), ‘D’accord je t’aime’ (16:04), ‘Tremble’ (24:13) et ‘Coups bas’ (27:53).

Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie

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« Hunger », la faim, c’est le titre du 2e album de l’artiste Refuge qui est sorti en ce mois de mars 2020. 4 ans après un premier opus intitulé « Brokenbird » et dans lequel Florian avait pu montrer déjà toute l’étendue de sa voix. Une voix cristalline et harmonieuse, que l’on retrouve plus que jamais sur ce nouvel album. Il est très difficile de mettre des extraits car c’est un album qui s’étire et qui s’écoute de tout son long, sans rien faire d’autre, en étant porté à la fois par les percussions indiennes, les tablas, et par les synthétiseurs. « Hunger » est un album solennel et intense, qui porte en lui les marques de la suie, de la cendre, et qui porte aussi en lui la profondeur des origines de celui qui en a écrit les paroles et les mélodies. Florian écrit et compose depuis de nombreuses années. A Paris, il s’est constitué un noyau solide d’amis musiciens parmi lesquels Pi Ja Ma et Pomme, deux artistes que j’ai eu le plaisir de recevoir sur ce podcast. Son refuge, sa safe place rêvée, sa voix, son chemin vers la musique avec une étape par la Nouvelle Star, ses origines, autant de sujets dont on parle ensemble lorsqu’on se retrouve dans son appartement, au milieu de ses disques. Crédit photoMargot de Kerangat.

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Extraits musicaux diffusés dans l’épisode 64 : ‘2K16’ (01:50), ‘The world outside’ (06:37), ‘Nawal’ (13:24), ‘Lava’ (21:00) et ‘Lion’s Tear’ (27:14).

Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie

Jamais musique et cinéma ne se seront côtoyés de si près dans un épisode de ce podcast. Cinéma, musique, deux disciplines qu’affectionne Pauline, connue sous son nom d’artiste PR2B. En décembre 2018, alors qu’elle finit ses études en réalisation à l’école de son et image la Fémis, elle fait sensation avec la chanson « Ocean Forever » repérée et publiée par la Souterraine. Ce remarquable coup de projecteur lui permet de faire les bonnes rencontres et de concrétiser son envie de chanter les textes qu’elle écrit. Entre cinéma et musique, entre chanson française et textes rapés, elle ne fait pas de choix. Artistiquement elle prend tout. C’est ainsi qu’elle réalise le clip de son premier single « la chanson du bal ». Ses chansons sont comme les bandes sons de courts métrages, en attendant le long métrage que viendra enrichir un album presque terminé.
Dans cet entretien, Pauline parle aussi bien de cinéma, que de son attirance pour les lumières de la scène où elle se produit depuis quelques mois.
Crédit photo Bettina Pittaluga.

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Extraits musicaux diffusés dans l’épisode 63 : ‘Tu ne dis jamais rien’ (01:56), ‘La chanson du bal’ (11:15) et (14:08), ‘Ocean Forever’ (17:36) et (25:37).

Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie

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L’invité de ce nouvel épisode du podcast Onlike est Sébastien Folin. Vous le connaissez certainement aux travers des ses engagements et/ou grâce à ses années passées sur les chaines de télévision nationale : à la présentation de la météo, dans l’émission Video Gag, ou encore en tant qu’animateur de l’émission musicale Acoustic sur TV5 monde, une émission qui vient tout juste de se terminer après 16 ans de bons et loyaux services rendus à la culture et aux artistes. Mais ce que vous ne savez peut être pas encore, c’est que tout a commencé pour Sébastien Folin à la Réunion sur les ondes de la radio Arc en ciel il y a plus de 30 ans. C’est sur cette ile que Sébastien découvre sa passion pour la radio, lui qui est amoureux de musique. Ensemble nous tirons le fil de son histoire pour dérouler au passage 1001 anecdotes de sa vie d’animateur radio « le doc Malibu », de son activité de DJ pendant 10 ans, de son expérience de disquaire chez Disques 2000. En plus d’être passionné par la musique, il reste encore et toujours aujourd’hui un grand admirateur des artistes et de leur travail et ne s’en cache aucunement. Sébastien Folin raconte dans cet entretien sa rencontre mémorable avec Kool and the Gang et son échange de regard furtif avec James Brown. Nous parlons aussi de la diversité aux Victoires de la musique, cérémonie à laquelle il participait en tant qu’animateur en février dernier, et plus généralement de musique à la télévision. Tout cet épisode est entrecoupé de morceaux choisis par Sébastien lui même. Les 1001 histoires de Sébastien Folin, c’est maintenant sur le podcast Onlike. Bonne écoute. Crédit photo droits réservés.

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Extraits musicaux diffusés dans l’épisode 62 (choisis par Sébastien Folin himself) : ‘Think’ par Lyn Collins (01:57), ‘In a Sentimental Mood’ par Duke Ellington et John Coltrane (19:55), ‘Apples’ par The Seasons (29:31), ‘E.V.P’ par Blood Orange (48:47), ‘Superstition’ par Beck, Boggert et Appice.

Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie

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Profession : batteuse de jazz, on dit aussi instrumentiste, musicienne, interprète. Dans cet épisode, je suis ravie de tendre mon micro à Anne Paceo, batteuse de métier et de passion. Elle est la 1ère femme batteuse diplômée du conservatoire national de musique en section jazz en France. Anne, qui est à l’affiche du festival Women in Jazz qui a lieu à Paris du 19 au 21 mars, a fait ses armes dans un milieu professionnel qui compte quelques appelé(e)s, encore moins d’élu(e)s et dans le lot très peu de femmes instrumentistes. Mais qu’à cela ne tienne, Anne a fait de sa passion précoce son métier, laissant de côté tout plan B, dédiée tout entière à son instrument de coeur et de tripes : la batterie. La légende familiale raconte que son attirance pour les percussions a commencé dans le ventre de sa mère en Côte d’Ivoire. Anne raconte quant à elle sa passion pour les groupes de musique que l’on voyait à la télé ou dans la série Hélène et les Garçons à l’époque. Jeune, elle n’avait aucune femme batteuse à laquelle s’identifier. Aujourd’hui elle fait partie de celles dont on peut s’inspirer. Dans cet entretien, elle décrit ce rapport physique presque charnel à son instrument. Elle donne sa définition du jazz : une musique libre et métissée avec laquelle on ne peut pas tricher. On parle aussi de spiritualité et d’apprentissage de la musique. Crédit photo Sylvain Gripoix

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Extraits musicaux diffusés dans l’épisode 61 de Anne Paceo : ‘The Shell’ (02:09), ‘Le cri’ (08:31), ‘Tomorrow’ (13:24) et (17:43), ‘Calle Silencio’ (25:07), ‘Myanmar folk song’ (33:15) et ‘Smile’ (36:04).

Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie

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L’invitée de ce nouvel entretien est la musicienne, auteure et compositrice Morgane Imbeaud. Elle a commencé sa riche carrière dans la musique il y a plus de 10 ans en formant avec Mark Daumail le duo Cocoon au succès que l’on connait (et aux chansons aussi d’ailleurs). Puis cette collaboration artistique terminée, elle s’est lancé dans des projets différents : un album de contes musicaux, un album de reprises de chansons de Simon et Garfunkel, s’entourant d’amis musiciens avec qui elle travaille toujours aujourd’hui comme Jean Louis Murat. En ce début 2020 est venu le temps pour elle de publier son premier album solo. Morgane Imbeaud s’affranchit du modèle du « duo », modèle qu’elle a toujours connu, modèle où la beauté s’amplifie souvent à deux, mais finit par peser sur la créativité individuelle. Son premier album solo s’appelle « Amazone ». Elle l’a composé et produit avec Renaud Brustlein de H-Burns qui en a été le réalisateur. Dans cet entretien, Morgane parle de « Gressholmen », cette ile norvégienne où elle s’est retirée pour composer les premières chansons de cet album courageux, altruiste, sensible et doux. La douceur et la gentillesse sont des sujets que nous abordons également avec Morgane, ainsi que le féminisme et ses années Cocoon. Un mélange de sujets qui laisse transparaitre la personnalité généreuse et sensible de Morgane. Crédit photo Goledzinowski.

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Extraits musicaux diffusés dans l’épisode 60 issus de l’album « Amazone » de Morgane Imbeaud : ‘Amazone’ (02:02), ’Gressholmen’ (06:08), ’Au Nord’ (14:40), ’Rien ne dure’ (21:09), ’Let You Down’ (23:58).

Enregistrement et montage : Alexandra Lebrethon
Production : Alexandra Lebrethon et Jean-Patrick Labouyrie

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