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Es gibt eben zweierlei Mitleid. Das eine, das schwachmütige und sentimentale, das eigentlich nur Ungeduld des Herzens ist...

Stefan Zweig reiste in den 30er Jahren mehrfach nach Südamerika, begeisterte sich für Kultur und Lebensart der Brasilianer und schrieb einen Klassiker der Reiseliteratur: "Brasilien. Land der Zukunft". In brillantem Stil erzählt er anschaulich von portugiesischen Abenteurern, begeisterten Missionaren und gierigen Goldgräbern. Später geht es dann um Kaiser, Kaffee und Kautschuk. Die Schattenseite der Entwicklung: Sklaverei.

"Il ne savait ni sourire, ni plaire, ni se rendre agréable ; il était en outre incapable d'exposer ses idées avec éloquence". Peu loquace, renfermé, retranché dans son isolement, cet éternel solitaire créait autour de lui une glaciale atmosphère de gêne et de méfiance. Il montera pourtant une expédition avec cinq navires et 250 hommes, sous l'égide du roi Carlos 1er (Charles Quint).

Zu seinem 41. Geburtstag findet der Romancier R. den langen Brief einer Unbekannten in seiner Post. Aus der Distanz der Anonymität erzählt sie von ihrer unerwiderten Liebe zu ihm. Der Schriftsteller versucht - überwältigt vom Inhalt des Briefes - seine Begegnungen mit der Frau zu rekonstruieren, kann sich jedoch nur bruchstückhaft erinnern. Sie ist für ihn nur eine gesichtslose Geliebte unter vielen, letztlich eine Unbekannte.

Joseph Fouché begann als Priesterlehrer. Während der französischen Revolution plünderte er hemmungslos Kirchen und verbreitete...

"Lorsque Irène, sortant de l'appartement de son amant, descendit l'escalier, de nouveau une peur subite et irraisonnée s'empara d'elle. Une toupie noire tournoya devant ses yeux, ses genoux s'ankylosèrent et elle fut obligée de vite se cramponner à la rampe pour ne pas tomber brusquement la tête en avant... Quand elle s'en retournait chez elle, un nouveau frisson mystérieux la parcourait auquel se mêlaient confusément le remords de sa faute et la folle crainte que dans la rue n'importe qui pût lire sur son visage d'où elle venait et répondre à son trouble par un sourire insolent."

Auteur de nombreuses biographies (Fouché, Balzac, Marie­-Antoinette, Magellan, ...), Stefan Zweig dresse avec psychologie le portrait d'un homme libre et tolérant. Alors qu'il fuit la guerre dans le lointain Brésil, Stefan Zweig cherche dans l'œuvre de Montaigne à soulager son désespoir, mais aussi dans l'expérience vécue d'un homme qui se trouva dans une situation proche de la sienne.

In the twilight of the Austro-Hungarian Empire, a young cavalry officer is invited to a dance at the home of a rich landowner. There - with a small act of attempted charity - he commits a simple faux pas. But from this seemingly insignificant blunder comes a tale of catastrophe arising from kindness and of honour poisoned by self-regard. Beware of Pity has all the intensity and the formidable sense of torment and of character of the very best of Zweig's work. Definitive translation by the award-winning Anthea Bell.

"The others form the human being, I depict him; and here I present an individual who is quite poorly formed and whom I would certainly make largely differently if I had to reshape him. But now that's the way he is." This phrase from the famous essays of Michel de Montaigne outlines the character of the author and his work. Montaigne wrote his essays not from a position of certainty but from an awareness of his inadequacy. He thus reveals a level of critical self-reflection that, before his time, was rarely put on paper.

Stefan Zweig's memoir, The World of Yesterday, recalls the golden age of prewar Europe - its seeming permanence, its promise and its devastating fall with the onset of two world wars. Zweig's passionate, evocative prose paints a stunning portrait of an era that danced brilliantly on the brink of extinction. It is an unusually humane account of Europe from the closing years of the 19th century through to World War II, seen through the eyes of one of the most famous writers of his era.

Médecin européen exilé dans une contrée reculée et tropicale depuis sept ans, la visite d'une anglaise élégante et fière subjugue l'homme et déstabilise le médecin. Elle sollicite un service délicat, une "affaire de femme" et propose une belle somme mais l'homme est blessé. Elle part. Comment réparer son refus ? Il se lance maladroitement à sa poursuite. Il racontera la suite de son aventure sur le bateau qui les ramène en Europe.

À bord d'un paquebot qui relie New-York à Buenos Aires, la présence d'un champion du monde d'échecs intrigue, de réputation rustre et vénal, Mirko Csentovic serait doué uniquement devant un échiquier. Durant cette longue traversée le narrateur, amateur d'échecs, décide d'organiser des parties afin d'observer le personnage. Un inconnu, discret et élégant intervient alors et met en difficulté le maître, comment a-t'il aquis un telle maîtrise du jeu ? Stephan Zweig écrit cette longue nouvelle alors qu'il fuit le nazisme.

Dans une pension de famille de la Côte d'Azur très "comme il faut", l'épouse d'un client honorable disparait avec un jeune français très apprécié jusqu'à cet évènement qui trouble la petite communauté. Seul le narrateur cherche à nuancer l'opprobre bientôt rejoint par une anglaise âgée et distinguée qui sans approuver le geste semble moins outrée que les autres. Cette discussion les rapprochera au point qu'elle lui confiera une aventure passée dont elle n'avait jamais parlé et qui dura Vingt-quatre heures.

Lettera di una sconosciuta è l'ultimo, disperato grido di una donna innamorata. È la storia drammatica di un amore appassionato, di un sentimento assoluto che sfocia in nevrosi. La protagonista segue come un'ombra devota e ostinata il suo amato, un ricco e facoltoso romanziere viennese. L'adolescente inquieta che lo spiava dalla porta di casa divenuta donna cerca con lui la realizzazione di un sogno impossibile. Quell'amore non ricambiato diventa il perno attorno a cui ruotano i suoi pensieri, le sue scelte, la sua vita.

Der leichtlebige Freiherr aus Wien ist seiner Frau, der Industriellentochter aus Essen, notorisch untreu. Selbstverständlich führt dies zu Spannungen im Haushalt, die kaum auszuhalten sind. Eine überraschende Verbündete findet der Hausherr in Creszenz, der knochigen, wortkargen Köchin aus Tirol, die dem Freiherrn geradezu hündisch untergeben ist, seit er ihr einen Klaps auf ihr Hinterteil gegeben hat.

Mit den Erinnerungen eines Europäers hat Stefan Zweig seine persönliche, zugleich eine der besten Analysen der Jahrzehnte zwischen dem ausgehenden 19. Jahrhundert und dem 2. Weltkrieg verfasst.